Source : Institut National de l’Histoire de l’Art, Fonds Pascal Sébah, cote NUM PH 8097
Ils pouvaient transporter aussi bien des matériaux, utiles aux maçons notamment, que des marchandises destinées aux épiciers, merciers et autres apothicaires, via éventuellement un commissionnaire en marchandises. Peut-être aidaient-ils également au déchargement des voitures ou des wagons qui commencent à circuler dans les régions au cours du XIXème siècle.
J’imagine en tout cas qu’ils ne pouvaient que difficilement subsister dans des petits villages et devaient exercer dans des communes un peu plus grandes. Celui que j’ai rencontré au cours de mes recherches généalogiques vivait près de Milly-la-Forêt (Essonne). Cette ville dispose d’une halle où se tenait trois fois par an une des plus importantes foires franciliennes, ainsi qu’un marché hebdomadaire de taille a priori non négligeable. Cela devait fournir une charge de travail suffisante.
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